Que la peste noire étreigne les abjects servants de Poory's, Sans Dard and Porc et autres Bitch, autoproclamés censeurs-mesureurs de nos nations et des hommes qui les ont bâties, infects serreurs de cou de peuples déjà au bord de l'asphyxie. Leurs instruments de dégradation empalent à mort les malades dont ils feignent de découvrir l'état de fièvre et les hémorragies. Prédictions sarcastiques et auto-réalisatrices de pythies sans scrupule qui conduisent l'effrayée mygale de la Définance à se ronger les pattes bavant vert ses taux d'intérêt usuraires, nous regardant mourir du poison qu'elle nous a injecté. Des vers gras se roulent dans les paradis fécaux et fiscaux, méprisables 1% extraits de la masse irritée des humanoïdes grouillants dont les dents commencent à s'aiguiser et les yeux rouges à luire d'une mauvaise étincelle.
Spéculateurs et traders ont imprimé sur leurs rouleaux de papier toilette les mots éthique et morale, ils rient en essuyant leurs infâmes petits derrières blancs, protégés par des milices casquées, des halos de gaz au poivre et des concerts de sirènes policières. Secondés par des machines folles dans leurs sordides calculs de gavage de la boule de fiente monétaire qui se nourrit de sa propre illusion, ils échappent à toute forme de justice. Nos États hébétés les regardent faire, en raclant les fonds de tiroir de nos impôts exsangues.
Ils jubilent de voir au loin les canons à eau projeter sur les derniers résistants des millions de gouttes d'eau.
Le décompte exact de ces gouttes sera compensé par autant de larmes amères qu'ils verseront dans un Enfer exécrable, déchiquetés par des diables multicolores et glacés, écorchés au ralenti dans un vacarme assourdissant et une souffrance que les mots ne pourront jamais décrire.
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